Synopsis
Le père d'Anna a quitté la maison pour devenir peintre. Sa mère, qui n'est autre que sa tante, travaille pour nourrir sa famille. Confrontée à des problèmes notamment familiaux, la jeune fille trouve un écho à ses soucis personnels en ses deux amis, Pink, leader d'un groupe de motards et Noa vivant dans la mendicité. Ils la considèrent comme étant une princesse. Elle n'est pourtant qu'une lycéenne paumée, errant dans des lieux froids, fondus de gris, où la lueur du jour peine à filtrer...
Mon avis
Princesse Anna est un manwha d'ambiance et à ce titre-là, c'est franchement très réussi : la lecture donne froid dans le dos. Le mélange entre la narration orientée vie quotidienne met le doigt sur de petits détails douloureux tandis que les images se succèdent, également très représentatives du côté glauque de l'existence que toute personne mène jour après jour. L'émotion fait partie intégrante de cette bande dessinée, les cases sont très expressives et le texte donne des frissons. C'est essentiellement ce qui m'a fait apprécier ce manwha, sinon le reste m'a laissée assez sceptique.
Tout d'abord je n'ai pas aimé les dessins ; les dégradés de gris sont trop nombreux et rendent le tout un peu flou, ce que je n'apprécie pas trop. Cela me fait bizarre de dire ça, mais en couleurs, le rendu aurait sûrement été meilleur. Ensuite, les scènes se succèdent assez étrangement ; il n'y a pas vraiment d'histoires, plutôt des morceaux de quotidien mis bout à bout et dans le désordre, comme une personne laisserait voguer ses souvenirs sans forcément les ranger chronologiquement... C'est assez perturbant et ça n'est pas vraiment mon genre mais j'ai quand même beaucoup aimé cette lecture, ne serait-ce que pour son intensité. Mais pour aimer faut vraiment avoir l'esprit très ouvert et savoir qu'on lit là de la BD d'auteur. Ma note est un peu basse parce que c'est pas trop mon genre mais pour un amateur elle serait plus haute.
Note : 6/10
Manwhaga : Jun Byun Byung
Disponible en français chez Kami
Le père d'Anna a quitté la maison pour devenir peintre. Sa mère, qui n'est autre que sa tante, travaille pour nourrir sa famille. Confrontée à des problèmes notamment familiaux, la jeune fille trouve un écho à ses soucis personnels en ses deux amis, Pink, leader d'un groupe de motards et Noa vivant dans la mendicité. Ils la considèrent comme étant une princesse. Elle n'est pourtant qu'une lycéenne paumée, errant dans des lieux froids, fondus de gris, où la lueur du jour peine à filtrer...
Mon avis
Princesse Anna est un manwha d'ambiance et à ce titre-là, c'est franchement très réussi : la lecture donne froid dans le dos. Le mélange entre la narration orientée vie quotidienne met le doigt sur de petits détails douloureux tandis que les images se succèdent, également très représentatives du côté glauque de l'existence que toute personne mène jour après jour. L'émotion fait partie intégrante de cette bande dessinée, les cases sont très expressives et le texte donne des frissons. C'est essentiellement ce qui m'a fait apprécier ce manwha, sinon le reste m'a laissée assez sceptique.
Tout d'abord je n'ai pas aimé les dessins ; les dégradés de gris sont trop nombreux et rendent le tout un peu flou, ce que je n'apprécie pas trop. Cela me fait bizarre de dire ça, mais en couleurs, le rendu aurait sûrement été meilleur. Ensuite, les scènes se succèdent assez étrangement ; il n'y a pas vraiment d'histoires, plutôt des morceaux de quotidien mis bout à bout et dans le désordre, comme une personne laisserait voguer ses souvenirs sans forcément les ranger chronologiquement... C'est assez perturbant et ça n'est pas vraiment mon genre mais j'ai quand même beaucoup aimé cette lecture, ne serait-ce que pour son intensité. Mais pour aimer faut vraiment avoir l'esprit très ouvert et savoir qu'on lit là de la BD d'auteur. Ma note est un peu basse parce que c'est pas trop mon genre mais pour un amateur elle serait plus haute.
Note : 6/10
Manwhaga : Jun Byun Byung
Disponible en français chez Kami