Synopsis
Misonoo Nanako fait son entrée à la prestigieuse école pour fille Seiran. À peine arrivée elle est admise, contre tout attente dans un cercle privé réunissant les filles les plus belles et les plus riches du lycée. Ce club très fermé, est dirigé par une très belle jeune fille, Ichinomiya Fukiko, dites Mlle Miya, qui est l'une des plus irréprochables élèves de l'établissement. Nanako, tiraillée entre ses camarades qui la jalousent et l'ambiance idyllique qui règne dans le club, est boulerversée ; mais elle trouve du réconfort en écrivant à un étudiant qu'elle a rencontré quelques mois auparavant durant ses cours du soir et qu'elle considère comme le grand frère qu'elle n'a jamais eu...
Mon avis
Alors ce manga... Eh bien, je l'ai trouvé tordu et même super tordu ^^'. En fait pour être plus précise, certains personnages sont de véritables psychopathes, encore pire que dans Life de Keiko Suenobu ! Et Riyoko Ikeda n'y va avec le dos de la cuillère avec les thèmes choquants : elle parle de maladie, d'homosexualité, d'ijime, de différence sociale, etc. Pour un manga aussi vieux, on peut dire que ses thèmes sont d'une modernité surprenante. Et je pense que c'est principalement la qualité de ce manga, car bien que certains de ses aspects se révèlent assez vicieux, ça n'en reste pas moins du Riyoko Ikeda : son graphisme, sa mise en page sont magistraux, dotés d'une grande force d'évocation. Comme tous les shôjo de l'époque, Très cher frère est une véritable fresque romanesque, une tragédie à l'ancienne portée par un drame passionnel d'une grande intensité. Bien qu'il ne vaille pas (à mon sens) la Rose de Versailles, ça n'en est pas moins un grand manga, à ranger auprès des classiques.
Ceux qui auraient suivi le dessin animé seront satisfaits avec ce manga plus dense et plus émouvant que l'anime, sans parler de la rectification des nombreuses censures de la VF...
Mangaka : Riyoko Ikeda (La rose de Versailles)
Note : 8/10
Disponible en français chez Asuka
Misonoo Nanako fait son entrée à la prestigieuse école pour fille Seiran. À peine arrivée elle est admise, contre tout attente dans un cercle privé réunissant les filles les plus belles et les plus riches du lycée. Ce club très fermé, est dirigé par une très belle jeune fille, Ichinomiya Fukiko, dites Mlle Miya, qui est l'une des plus irréprochables élèves de l'établissement. Nanako, tiraillée entre ses camarades qui la jalousent et l'ambiance idyllique qui règne dans le club, est boulerversée ; mais elle trouve du réconfort en écrivant à un étudiant qu'elle a rencontré quelques mois auparavant durant ses cours du soir et qu'elle considère comme le grand frère qu'elle n'a jamais eu...
Mon avis
Alors ce manga... Eh bien, je l'ai trouvé tordu et même super tordu ^^'. En fait pour être plus précise, certains personnages sont de véritables psychopathes, encore pire que dans Life de Keiko Suenobu ! Et Riyoko Ikeda n'y va avec le dos de la cuillère avec les thèmes choquants : elle parle de maladie, d'homosexualité, d'ijime, de différence sociale, etc. Pour un manga aussi vieux, on peut dire que ses thèmes sont d'une modernité surprenante. Et je pense que c'est principalement la qualité de ce manga, car bien que certains de ses aspects se révèlent assez vicieux, ça n'en reste pas moins du Riyoko Ikeda : son graphisme, sa mise en page sont magistraux, dotés d'une grande force d'évocation. Comme tous les shôjo de l'époque, Très cher frère est une véritable fresque romanesque, une tragédie à l'ancienne portée par un drame passionnel d'une grande intensité. Bien qu'il ne vaille pas (à mon sens) la Rose de Versailles, ça n'en est pas moins un grand manga, à ranger auprès des classiques.
Ceux qui auraient suivi le dessin animé seront satisfaits avec ce manga plus dense et plus émouvant que l'anime, sans parler de la rectification des nombreuses censures de la VF...
Mangaka : Riyoko Ikeda (La rose de Versailles)
Note : 8/10
Disponible en français chez Asuka